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La chute de la France crée sur la planète une onde de choc, rarement décrite dans son ensemble. Le présent article esquisse un tour des grandes capitales et de certaines plus petites.
On ne présente plus Raymond Aubrac, né Raymond Samuel, figure de la Résistance indissociable de son épouse Lucie disparue en 2007. Aujourd’hui âgé de 95 ans, il est l’un des derniers gardiens de cette mémoire tragique des années noires. Il s’exprime dans nos pages, non avec ses yeux de combattant de l’ombre, mais avec ceux d’un jeune français pris dans la tourmente de l’avant-guerre.
En novembre 1918, l’Italie termine la Première Guerre mondiale dans le camp des vainqueurs. Parmi les anciens combattants transalpins, se trouve un certain Benito Mussolini.
Le système concentrationnaire nazi apparaît quelques jours seulement après l’accession au pouvoir de Hitler, dans une atmosphère de revanche politique, de rivalité entre dignitaires du Parti et, surtout, dans l’improvisation la plus totale.
Un monstre asexué. Tel se montre Adolf Hitler au cours de la guerre, à mesure que se dévoilent son agressivité, sa cruauté et son intransigeance, sans qu’aucune femme apparaisse jamais à ses côtés. Pourtant, des informations sur ses relations féminines montrent que les femmes ont joué, dans son parcours, un rôle de premier plan…
Automne 1939. Après les semaines d’incertitude de septembre, le front s’assoupit faute d’initiative. Si, à la frontière, personne ne semble vouloir véritablement « tirer le premier », à l’arrière, la vie des Français s’organise dans la résignation.
Au début de la guerre, Hitler met un point d’honneur à conserver ses habitudes politiques du temps de paix, comme la commémoration de son putsch manqué du 8 novembre 1923. Cette célébration prend la forme d’un discours à la brasserie Bürgerbräukeller de Munich, lieu de réunion des anciens conjurés. Dans le rituel nazi, c’est là le moyen de resserrer les liens avec les « vieux camarades » du NSDAP, les compagnons de la première heure.
La stupéfiante conclusion du pacte de non-agression germano-soviétique, le 23 août 1939, n’en a pas fini de susciter des interrogations sur la diplomatie de l’Union soviétique à l’aube de la Seconde Guerre mondiale.
Le pacte germano-soviétique d’août 1939 était assorti de protocoles secrets convenus entre Berlin et Moscou. Parmi ceux-ci, figurait un partage en « zones d’influence » des nations situées entre le Reich et l’Union soviétique. Sur cette liste, la « petite » Finlande revenait de droit à Staline...
Les célèbres prix Nobel, mondialement reconnus, n’ont manqué leur traditionnel rendez-vous annuel du 10 décembre depuis 1901 qu’au cours des années les plus sombres des deux guerres mondiales. On doit leur existence aux dernières volontés d’un Suédois, né à Stockholm en 1833 : Alfred Nobel.
Bien qu’en 1939, la supériorité navale des Alliés sur l’Allemagne paraisse en tout point incontestable, c’est bel et bien sur mer que la « vraie » guerre débute de la façon la plus spectaculaire.
« Toute la région est bouleversée par un terrible tremblement de terre. Il y a plus de 10 000 morts. Le bureau de poste s’écroule... »